Guérison du syndrome post avortement (Part I)
Cet article
traite en particulier des problèmes de relation avec Dieu que connaissent
certaines femmes suite à un avortement. Je pense que le nombre de femmes concernées
par ces problèmes est plus important qu’on ne le croit et je souhaite que cet
article puisse les aider ainsi que leurs familles.
Le psychiatre
anglais Kenneth Mac All, membre du Royal College of psychiatrists, cite le cas
d’une de ces patientes qui était en pleine dépression, souffrait d’insomnies,
se nourrissait peu et n’arrivait pas à vivre normalement avec les autres. Jeune,
elle s’était prostituée, était tombée enceinte plusieurs fois et à chaque fois
s’était fait avorter.
Le médecin
lui fit prendre conscience que ses problèmes actuels étaient dûs au fait qu’elles
n’avaient pas de relation avec Dieu ni avec ses enfants avortés. Elle suivit
alors les conseils du médecin et se confessa en regrettant sincèrement ses
interruptions de grossesse.
Lors
d’une messe, elle donna un prénom à chacun de ses enfants, les confia tous au
Seigneur, et fut, pendant cette Eucharistie, miraculeusement guérie de tous ses
maux.
Depuis
ce jour, elle assiste quotidiennement à la messe, est en union avec Dieu et
mène une vie calme et heureuse. Elle s’est mariée et aide de nombreuses femmes
qui souffrent du même syndrome.
Le Seigneur désire ardemment que chaque enfant conçu soit accueilli avec amour. Si tel n’est pas le cas, les parents commettent une grande faute envers leur enfant et eux-mêmes. Donner un prénom à son enfant, c’est l’accepter.
En provoquant une interruption volontaire de grossesse, les parents condamnent leur enfant, encore non né, à mort. Ils ont cependant la possibilité de réparer cette faute en prenant la décision de se confesser sincèrement, de communier, de donner un prénom à leur enfant puis de se réconcilier avec Lui et de le confier au Seigneur…