Guérison du syndrome post avortement (Part III)
Non seulement l’avortement a un effet négatif sur la femme et sur l’enfant qu’elle supprime, mais aussi sur la famille entière et la société. Les études scientifiques montrent que ce sont surtout les frères et sœurs de l’enfant supprimé qui souffrent…
Les enfants qui ont grandi dans le ventre de leur mère après que celle-ci ait subi un avortement, sont souvent en proie à de grandes peurs, agressifs envers leurs parents et ont des tendances suicidaires.
En 1978, le docteur Feldmar a publié une étude faite sur des gens qui avaient des tendances suicidaires. Il en ressortit que presque toutes les mères de ces personnes avaient fait des tentatives d’avortement. Leurs idées suicidaires apparaissent d’ailleurs souvent au moment de la date anniversaire de la tentative d’avortement. Feldmar découvrit qu’un enfant avait comme conscience de la tentative d’avortement de sa mère bien que cela ait eu lieu les premières semaines de la grossesse.
Là où
les cœurs sont fermés à
Seul l’Amour du Christ peut vaincre les forces du Mal qui détruisent l’homme. C’est pourquoi l’enfant et ses parents doivent ouvrir leurs cœurs à l’Amour du Christ, regretter sincèrement le mal fait, se pardonner mutuellement et à soi-même.
Le mieux est de le faire en recevant le sacrement de réconciliation et l’Eucharistie parce que c’est là que se trouve pleinement l’Amour du Christ.